Pépito Matéo

pepito

Préférant les mots aux maths et les voyages aux études, il évite de trop user ses fonds de culotte aux bancs de la société des bons élèves et cherchera sans le trouver, son bonheur au hasard des petits boulots avant d’échouer par hasard aux portes du théâtre.
Un théâtre militant et de recherche pour dire le monde, ses joies et ses détresses. Puis enfin… il deviendra conteur au cœur d’un vaste mouvement de renouveau qui s’attache à réconcilier la tradition et la modernité, les mythes et le réel.

À travers ses différents spectacles, il s’intéressera à ré-inventer les formes du récit contemporain, avec la liberté d’un auteur en direct, usant de théâtralité et travaillant les formes du langage et le jeu avec les mots.
Sa langue acérée, oscillant entre humour et poésie, touche au cœur. Au dire de certains, il fait partie de ces artistes « indispensables » capables de dire la folie du monde tout en gardant cette légèreté salvatrice, cette jubilation de la parole vagabonde qui nourrit et qui fait sens.

Pépito Matéo est avant tout un détourneur de mots, un joyeux fou, bavard et allumé, qui trace son propre chemin dans la forêt de l’imaginaire contemporain.

Ce qu’il a dit

« Les mots, à travers les religions, expliquaient l’inexplicable, donnaient un sens à la vie. Nous les conteurs, sommes des espèces de prêtres mais au lieu de dire : “Il faut croire à ça, à notre parole”, on dit : “Croyez à ce que vous écoutez, à votre façon”. »

Ce qu’en dit la presse

« Pépito Matéo évolue dans le grand magasin lexical avec une agilité de girafe neurasthénique. (…) tout ça est d’une finesse poétique infinie. »
Jean-Philippe Faure, Agora Pièce (Avignon)
« Pépito Matéo est d’abord un jongleur de mots, un as du lapsus, un lexique dyslexique. Un type capable de partir d’une simple histoire de diabolo menthe à la terrasse d’un café pour vous emmener dans un hélicoptère au-dessus du désert, au bord de la panne sèche. »

La Charente Libre
« Dans la veine de Raymond Devos pour les jeux de langage surréalistes. Dans la lignée d’un Bobbie Lapointe pour les onomatopées fantaisistes, les pirouettes verbales. Dans l’esprit d’un Pierre Desproges qui aurait oublié d’être cruel, un peu de la bonhomie d’un Pierre Dac. » 

La République du Centre