Gigi Bigot

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Gigi Bigot s’inspire d’histoires traditionnelles, qu’elle mélange avec son propre regard sur la vie et le monde d’aujourd’hui. Elle se décrit comme « une trafiquante, une contrebandière de contes ». Même s’ils viennent de la nuit des temps, elle les recrée dans une forme contemporaine. Ce qui l’anime à travers les contes, c’est la force d’évocation de leurs images, le point de vue malicieux de l’homme sur sa condition et cette capacité à allier sans cesse humour et émotion.
Dernièrement, elle a créé Histoires sous le pommier (1993), Jan des Merveilles (1995), C’est drôle la vie (1998), et Lulla dans la lune (1998). Elle a participé à de nombreux festivals : Mythos (Rennes), Méli’môme (Reims), Festival Jeune Public du Printemps de Bourges, 1er Festival de Contes à Paris (l’Européen), Etonnants Voyageurs (Saint-Malo)…
Elle fait des tournées en français et en espagnol en Chine, Nouvelle-Calédonie, Portugal, Espagne, Brésil…

Ce qu’elle a dit

« C’est vraiment par gourmandise que je suis devenue conteuse. »
« L’art c’est les soins palliatifs ; on est condamné à mort dès la naissance. L’art c’est pour ne pas mourir, c’est pour être plus vivant. C’est pour ça qu’on a besoin de l’imaginaire, parce qu’on ne peut pas tout dire avec le réel. »

Ce qu’en dit la presse

« Il y a de la malice, de l’humour et beaucoup d’humanité dans les histoires de Gigi Bigot. Avec elle, le quotidien fait bon ménage avec la féerie. »
Le Monde de la musique
« Contes sans maquillage, avec une pincée de sentiment, et surtout un grand verre d’humour et de poésie. » 

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